Voyage en avion n'en déplaise à zorro ;-)

http://perso.wanadoo.fr/acbm.cl/

c'est le lien de l'aérodrome de Pouillous près de Sanvignes mais bon pas super interessant, l'admin de ce site ne s'en occupe apparemment plus et c'est vrai qu'il n'est plus instracteur à Pouilloux..

Y veut même pas me laisser entrer sur son site paske j'utilise pas IE.

Il est vrai que Jean François n'est plus à Pouilloux et il avait créé ce site. Il faudrait que je le fasse évoluer, mais manque de temps et de connaissances.
mais promis, on va s'en occuper d'ici la fin de l'année.
Ah oui, pourquoi je connais ce site: c'est moi qui l'héberge!
Et si tu veux des nouvelles de JFG, je peux te dire ou il est et ce qu'il fait.

Voici donc l'adresse du nouveau site des "avions de Pouilloux", en cours d'élaboration, mais déjà actif.
http://perso.wanadoo.fr/club-acbm/
Vous pouvez donc l'ajouter à vos favoris, et faire les remarques éventuelles sur le site!

Je me demandais à combien de Km/h ça volait, un ptit coucou comme ça ?

Et oui, cela dépend du modèle, du vent, du régime moteur adopté...en fait pour indication environ 180 à 200 km/h, en régime de croisère. Donc si un vent de 40 km/h de face, la vitesse sol n'est plus que de 140 à 160 , et si c'est de dos, et ben on avance de 220 à 240
Ne pas oublier en tous les cas:" l'aviation de loisirs est un moyen de locomotion rapide à condition de ne pas être pressé"
Car on peut quelquefois partir loin, mais ne pas atteindre son but dans les délais prévus, ou ne pas revenir comme on le souhaitait, cause météo, bien sur.

Mais l'important, c'est le plaisir qu'on y prend

Par "ne pas revenir comme on le souhaitait" tu entends que parfois on rentre à pieds ?
C'est quoi le plus dur de décoller ou d'atterrir ?

Oui on peut revenir en train, et retourner chercher l'avion un jour ou il fait meilleur!
D'ou l'étude préalable et attentionnée de la météo

A mon avis c'est atterrir qui est le plus dur.
Enfin moi quand j'ai testé un de ces coucous, il y a quelques années, c'est l'atterrissage qui m'a fait le plus peur. J'ai trouvé qu'on arrivait vachement vite pour pouvoir se poser.
J'étais bleue à la descente de l'avion mais j'ai fait la fière !! Nan mais !

(Tiens au fait , on m'avait donné une carte de membre ? Ca sert à quoi cette chose ! A récompenser ceux qui n'ont pas vomi sur le pilote ? )

Eh oui, c'est toujours l'atterrisage le plus dur, il nous ramène à la réalité. Il est quelquefois tumultueux, avec le vent qui fait des siennes, qui force à se battre avec le manche, et qui nous fait voler en travers, qu'il faut rattraper quand touchent les roues.
Il peut être tranquille, serein, dans le calme de l'air du soir, là ou plus aucune brise ne vient agiter les branches...
L'atterrisage est alors une transition du rêve vers un réveil plein de bonheur, avec la sensation d'une plénitude atteinte.
Mais plutôt qu'en parler il faut le vivre!
Alors à bientôt sur les petits coucous!
Quand à la carte de membre de l'époque, c'est une pure nécessité comptable pour le club, et la compta et le rêve ne font pas souvent bon ménage!